Fées
par Alex Sanders
version
française
Tof
d’après des notes de S.M.
On dit que
contacter les fées c’est agir comme médiateur entre ce qui est au-dessus et ce
qui est en dessous. Les fées absorbent, dit-on, le Prana du soleil et le
distribuent à la terre. Lorsqu’elles sont visibles, elles sont à un niveau
éthérique, lorsqu’elles (nous) sont invisibles, elles sont à un niveau astral.
Une fée sans forme est perçue sous l’apparence d’une sphère de lumière
palpitante avec un noyau éclatant. Mais les fées prennent aussi forme. Pour cela
elles lisent dans le subconscient d’une personne et se matérialisent sous
l’aspect qu’on attend d’elles. Pour y parvenir une fée doit bien garder à
l’esprit l’apparence qu’on imagine qu’elle a, sinon elle retourne à son état
naturel.
Les fées
prennent de nombreuses apparences dont certaines correspondent remarquablement à
la description d’une sorcière contemporaine :
Une femme nue de taille normale d’une beauté singulière.
Ses cheveux sont beaux et brillants, son front est large, ses traits sont
admirablement dessinés, ses yeux sont grands et lumineux et alors que son
expression a quelque chose de l’esprit de la nature, elle ne semble pas
inamicale.
Il y a
aussi des fées qui habitent les arbres et les plantes, certaines sont bonnes,
d’autres mauvaises :
La
Jacinthe : une des plantes à fées les plus puissantes. Un bois de Jacinthes est
risqué pour un non initié. « un lieu où les fées nouent des sorts et des
enchantements ».
Le
Sorbier : Les druides utilisaient beaucoup le Sorbier pour la divination. Les
feux de Sorbiers étaient utilisés pour conjurer les esprits.
Le
Sureau : une sorcière sous l’apparence d’un arbre. Il ne faut pas en couper sans
demander :
Vieille fille, donne-moi un peu de ton bois et je te
donnerai du mien lorsque je serai un arbre.
Le Frêne :
utilisé par les druides pour faire leurs baguettes.
Le
Prunellier, le Coudrier, l’Aulne et le Chêne sont hantés par des élémentaux. Les
brindilles d’Aubépine et d’Aulne sont dangereuses lorsqu’elles sont tordues.
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