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Quelques mots sur une sorcière

in Saturday Evening Post du 5 novembre 1966 version française Tof

Doreen Valiente de Brighton, une femme solide d’âge moyen dont les longs cheveux tombent en cascade sur ses épaules, apporte à la sorcellerie un chaleureux coup de fouet. « Nos réunions sont vraiment très enjouées » dit-elle. Dans son coven Mme Valiente est connue sous le nom de Filia Panos (fille de Pan). Elle est souvent en train de fixer un miroir magique noir pour connaître l’avenir et tire les rideaux la journée parce que « la lumière du soleil altère la sensibilité du miroir, à la différence du clair de lune, qui l'augmente ». Son familier, « Hob », séjourne dans une tête de singe sculptée dans une noix de coco. « Hob est un sacré gaillard, ça je peux vous le dire. Si vous essayiez de photographier des phénomènes étranges ici, il ferait en sorte que rien ne se produise. C’est un esprit élémentaire. Comme George, le familier de Gerald Gardner. Ce George ! Il volait régulièrement des objets. Si une cuillère disparaissait dans la salle à manger, Gerald disait, « George a pris cette cuillère. Allez George, où est-elle ? » Et elle réapparaissait dans les endroits les plus insolites. »

Casimir, l’époux de Mme Valiente un petit cuisinier espagnol dont la tête arrive à peine au niveau avec sa poitrine plantureuse, ne s’intéresse absolument pas à la sorcellerie, il préfère passer son temps libre à pêcher. Le heurtoir de la porte de leur appartement en sous-sol est un lutin en bronze tenant un crâne entre ses jambes, un cadeau de Gerald Gardner. « Une boule de sorcière » en verre argenté est suspendue devant chaque fenêtre, c’est un charme contre le mauvais œil. A l’intérieur, les murs et les tables sont couverts de lutins, de pentagrammes, de cornes à boire, de fossiles magiques ou d’athamés. « Je les collectionne depuis des années » explique Mme Valiente et fait elle remarquer avec plaisir : « A une époque, vous pouviez être pendu pour la possession de ces objets ».

 


 

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