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Traditions dérivées de l’Atlantide

par Doreen Valiente version française Tof

Feu Lewis Spence, qui fut une autorité sur le Mexique antique ainsi que sur l’Atlantide, a fait une découverte extraordinaire liée au culte des sorcières, dans un manuscrit précolombien. Cette peinture mexicaine, connue sous le nom de Codex Fejervary-Mayer montre de manière indubitable une sorcière nue portant un chapeau pointu et chevauchant un balai.

Spence dit dans son « Encyclopaedia of Occultism » (George Routledge, Londres 1920 et University Books, New Hyde Park, New York, 1959) qu’il a découvert dans le Mexique précolombien, un culte des sorcières comparable au culte européen. Il remarque que cela semble indiquer une origine très ancienne pour ce qu’il nomme « la religion des sorcières ».

Comment l’artiste inconnu d’un dessin peint au Mexique, avant que Colomb ne découvre l’Amérique, a-t-il pu décrire de façon si convaincante ce personnage ? Il y a aujourd’hui des sorcières au Mexique, mais leur existence peut être attribuée aux croyances importées dans le Nouveau Monde par les Conquistadores Espagnoles. Pourtant, avant la conquête européenne, des adeptes du culte adoraient une déesse lunaire et le dieu du Monde de sous Terre, de la mort et du monde des esprits, ils avaient l’habitude de se retrouver aux carrefours comme le faisaient les sorcières européennes.

Le capuchon pointu porté par la sorcière précolombienne sur le dessin dont il a été question plus haut est bien sûr le « chapeau de sorcière » porté autrefois par la sorcière des contes de fées populaires. Il représente probablement le « Cône de Pouvoir » que les sorcières cherchent à créer par leur rituel. Il semble qu’il ait aussi été représenté dans une gravure plus ancienne datant de l’Age de Pierre à Cogul au nord-est de l’Espagne.

Dans « la Déesse Blanche » (Faber, Londres 1961 et Farrar, Strauss et Giroux, New York, 1966) Robert Grave décrit cette gravure comme « la plus ancienne trace de pratique religieuse européenne ». Elle semble représenter une danse de sorcières, un groupe de femmes dansant en cercle autour d’un homme nu. Les femmes portent un chapeau pointu et l’homme quelque chose qui ressemble vraiment aux jarretières rituelles qui sont une marque de rang traditionnelle dans le culte des sorcières.

On peut ainsi penser, d’après ces preuves, que le culte des sorcières a une origine très ancienne et que dans une antiquité très ancienne il y a eu des contacts entre les adeptes d’Europe et ceux d’Amérique Centrale. Ce contact a pu se faire sur le continent perdu qu’est l’Atlantide.

Il y a au moins en Grande Bretagne une branche de ce qui reste du culte des sorcières qui affirme que sa tradition provient de l’Atlantide ou, comme ils l’appellent, de « La Ville d’Eau ». Les historiens traditionnels peuvent se moquer de cette idée de continent submergé et dire que ce n’est qu’une légende. Pendant de nombreuses années on a dit la même chose de la ville de Troie, jusqu’à ce que Heinrich Schliemann la redécouvre.

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Dans la joie nous nous sommes réunis, dans la joie nous nous séparons et dans la joie nous nous retrouverons!