La Wica
    Textes de/sur Gerald Gardner
    Textes de/sur les Prêtresses de Gardner
    Les Anciennes Lois
    Théologie, Dogmes et Croyances
    Sur la Pratique
    Sur l'Histoire
    Lignée & Traditions
    Le Livre des Ombres
    Le Livre des Plantes
    Les Gens
    L'Initiation
    Le(s) Secret(s)
    La Validité
    Outils et Accessoires

  Le NROOGD

  Dion Fortune & The Society of Inner Light

  Alex Sanders & la Tradition Alexandrienne

  Chamanisme / Faery / Huna

  Magie Enochienne

  Reclaiming / Feri / 3rd Road

  Thelema

  Tubal Cain

  Autres

 

La Librairie

Le Cercle de la Pierre Sorcières

Liens

Dernières mises à jour du site


 

Les Wica
par Ph. Heselton
version française Tof


Gerald Gardner employait le mot Wica pour désigner les personnes qu’il avait rencontrées. Il a clairement entendu ce mot dans la bouche de ces personnes, d'abord lors de son initiation, à un moment où il connaissait suffisamment l’histoire du mot « witch » et de ses versions plus anciennes telles que « wicce » et « wicca » pour qu’il comprenne la signification du mot « wica » lorsqu’il l'a entendu :
« Nous étions parvenus à mi-chemin [de son rituel d’initiation] quand le mot Wica fut prononcé pour la première fois et je savais que cette sorcière qui avait brûlé il y a des centaines d’années survivait toujours »

Je pense qu’il est clair que les gens qui ont initié Gerald Gardner lorsqu’ils parlaient d’eux disaient « the Wica ». Gerald Gardner a repris cet usage et l'a adopté. Nous ne savons pas quelle était son orthographe. On l’employait surtout oralement, on ne peut donc en connaître l’orthographe originale. Je pense qu’il est possible que ce soit Rosamund Sabine qui soit à l’origine de ce mot. Elle le tenait peut être de ses souvenirs de vie antérieure lorsqu’elle était déjà sorcière ou peut être aussi de ses lectures d’auteurs tels que Charles Leland. Mais rien ne nous permet d’en être certains. Nous savons que Gerald Gardner avait une mauvaise orthographe mais dans ce cas précis je pense qu’il s’agissait d’un mot qu’il avait entendu et qu’il n’avait jamais vu par écrit.

J’ai trouvé également qu’il y avait plusieurs personnes qui étaient suspectées d'être impliquées dans la sorcellerie dans les années 1930 et 1940 et qu’elles vivaient toutes dans la même partie de la New Forest. Elles vivaient non seulement dans le même village, mais aussi dans la même partie du village. Je pense que cela vaut la peine de le noter et c’est ce que je fais.

On m’a critiqué pour avoir supposé que Dafo et la famille Mason se connaissaient avant d’être impliqués dans la Crotona Fellowship parce qu’ils vivaient dans la même rue de Southampton. Je pense qu’il est tout à fait raisonnable de raisonner ainsi surtout qu’ils étaient aussi déjà tous Co-Maçons avant cela.

Je ne dis pas que les facteurs géographiques sont suffisants pour établir une théorie, mais ils sont intéressants et méritent d'être mis en avant. Je ne pense pas faire plus que cela.

Il est certainement vrai, comme on en a beaucoup parlé, qu’il y a une grande concentration de païens dans la région de Hull nommée « The Avenues » où je vis. Les raisons en sont naturellement diverses, mais dans au moins un cas, les personnes concernées ont emménagé dans ce secteur en raison de la présence d'autres païens, ce qui naturellement se produit dans de nombreux groupes différents. Je pense que c'est également la raison pour laquelle Gerald Gardner, en juillet 1938, et Dafo, en août 1940, ont déménagé à Highcliffe, même si je ne peux le prouver à l'heure actuelle.

 

Ph. Heselton est l'auteur de plusieurs livres dont « Wiccan Roots », « Gerald Gardner and the Cauldron of Inspiration » ou « Gerald Gardner and the Witchcraft Revival »



 

retour

 

 

Dans la joie nous nous sommes réunis, dans la joie nous nous séparons et dans la joie nous nous retrouverons!