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Ce que Gérald Gardner disait de l’Islam
par Loïs Bourne version française Tof

Gérald Gardner a toujours été fasciné par les anciens symboles païens qu’on retrouve encore aujourd’hui de par le monde. Nous avons parlé de Philipe de Macédoine qui a tenté de s’emparer de Byzance lors d’un raid nocturne en 340 avant notre ère ; mais Hécate, déesse de la lune, a fait échouer ses plans en lui refusant l’invisibilité qui lui était nécessaire. En reconnaissance, les Byzantins ont adopté le croissant cornu dont ont hérité ensuite les Ottomans.

Et, disait Gérald Gardner, qui connaît aujourd’hui l’origine païenne et très ancienne d’un des plus fameux symboles de l’Islam ?
Il connaissait très bien de nombreux aspects de l’Islam, ayant passé de très nombreuses années à voyager dans des pays musulmans. Il disait qu’il y avait même des aspects païens dans la Kaaba, l’objet le plus vénéré de l’Islam – les hommes qui servent cette pierre noire sont appelés « les enfants de la Vieille Femme », c’est-à-dire la lune.

Nous avons bien sûr parlé de magie et d’esprits familiers et j’étais plus particulièrement intéressée par les djinns, plus connus en occident sous le nom de génies. Selon le Coran, ils furent créés à partir d’une chaleur ardente ou d’une flamme sans fumée et ils auraient vécu sur terre bien avant Adam. Selon Gérald Gardner, ils devaient avoir du caractère, car ils peuvent être vindicatifs (surtout les Djinniyats, les djinns féminins) lorsqu’ils sont invoqués dans un but inique. Il faut leur offrir de petits cadeaux, une pièce, par exemple, ou des cendres (leur couscous). Ils sont plus particulièrement présents aux heures les plus chaudes de la journée, c’est-à-dire à midi. Il est intéressant de noter que midi est aussi associé à la peur panique à laquelle on est confronté lorsqu’on rencontre fortuitement Pan ou lorsqu’on entend sa musique. Les Arabes croient que les poètes sont inspirés par les Djinns, alors que les Irlandais croient que les poètes ont le pouvoir de maudire. Les Djinns vivent, dit-on, dans les arbres, les puits, les marais ou les maisons inhabitées et ils fréquentent les routes isolées et les cimetières. Une colonne de sable soulevée par une trombe soufflant dans le désert est un djinn, tout comme les tourbillons dans un lac. Les djinns craignent l’acier et le fer, c’est pourquoi certains portent une bague en fer, une dague ou un couteau. Le sel est un autre moyen de se protéger des djinns. Les djinns détestent le sel.

 

 

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Dans la joie nous nous sommes réunis, dans la joie nous nous séparons et dans la joie nous nous retrouverons!