La Wica

  Le NROOGD

  Dion Fortune & The Society of Inner Light

  Alex Sanders & la Tradition Alexandrienne

  Chamanisme / Faery / Huna

  Magie Enochienne

  Reclaiming / Feri / 3rd Road

  Thelema

  Tubal Cain

  Autres
    Charles Cardell et le Coven d'Atho
    Bill Gray et le Sangreal
    Madeline Montalban
    Rosaleen Norton
    Wicca Germanique

    Majestic Order

    Coutumes et Traditions

    Projections Astrales

    L'Oracle Rider-Waite

    Crapaud et Sorcellerie

    Hécate

    Cordes et Ficelles

    Sorcellerie au Cinéma
 
   Divination
    Divers

La Librairie

Le Cercle de la Pierre Sorcière

Liens

Dernières mises à jour du site


 

Des Suppôts du Diable la nuit dans une forêt du Surrey
par William Hall in « The Evening News and Star » du 7 mars 1961  version française Tof


Dans les profondeurs de la nuit, dans une forêt éloignée du Surrey, la pratique sacrilège de la sorcellerie médiévale renaît lors d’un rituel satanique.
Avec deux autres témoins j’ai tout vu.
 
Il y a six mois, Ray Howard un technicien de 34 ans est venu à « The Evening News » avec une histoire où il était involontairement impliqué dans un coven de sorcières où il a été hypnotisé puis il s’est échappé puis finalement on a jeté une malédiction sur lui.
Tout au long de l’automne et de l’hiver mon collègue Frederick Park et moi-même avons surveillé la forêt où il y avait, selon M. Howard, un temple de sorcellerie et de Magie Noire.
Les bois ont tous les accessoires d’un Stonehenge miniature et plus encore… un Autel de pierres tout spécialement construit au bord d’une rivière là où deux courants se rejoignent, des symboles mystiques cloués aux arbres et des sphères en cristal de 60 cm pour « capter » les messages des esprits.
 
Pour montrer la scène macabre, Ray Howard a bravé les pressions de la secte.
Une douzaine de personnages fantomatiques cachés dans le sous-bois et conduits par un homme qui se fait appeler Rex Nemorensis, le « Rois des Forêts », sont arrivés à dix heure.
Derrière eux il y avait une femme d’âge moyen, la sœur de Nemorensis – qui est, pour le public, psychologue à Londres.
Sa sœur, appelée Beth dans la secte, la Fille Sorcière portait une lampe.
 
Un feu a été allumé, de l’encens a été jeté dans le feu de bois et Nemorensis a tracé un cercle autour du feu avec une longue épée.
Les personnages étaient, selon Howard, six hommes et six femmes qui, selon ce qu’on m’a dit, cherchaient à entrer en communication avec les esprits de leurs compagnons décédés et faire parler la reine morte de leur secte par la bouche de la Fille Sorcière assise sur le « trône » un arbre à cinq troncs.
Rapidement la Fille Sorcière s’est figée sur son trône. « Elle est en transe » a murmuré Howard.
 
Finalement, Nemorensis a pris un arc droit de 2 mètres, a chanté quelques courtes phrases et a envoyé une flèche dans le ciel nocturne.
« Il appelle le diable pour qu’il guide la flèche jusqu’au cœur de celui qui est maudit – et c’est moi » a dit Howard contrarié.
A minuit tout était terminé. La forêt a été rendue aux fantômes et au silence.
 

retour

     

 

Dans la joie nous nous sommes réunis, dans la joie nous nous séparons et dans la joie nous nous retrouverons!