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Alex Sanders & la Tradition Alexandrienne
Le Cercle de la Pierre Sorcière Dernières mises à jour du site
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Journal Magique - 13 Février 1939
Beaucoup d’occultistes gardent des traces de leurs pratiques magiques. On a retrouvé le « journal magique » que deux membres de la « Fraternity of the Inner Light » tenaient dans la seconde partie des années 1930. Pour la petite histoire, une de ces deux personnes s’est fort probablement retrouvée dans le Cercle avec les sorcières réunies à Londres autour de Gerald Gardner un peu plus de dix ans plus tard. Voici une page de ce journal :
13 février 1939 J’ai eu une fois encore une image très forte de la plaine de Salisbury et au début j’ai vu Stonehenge. Puis j’ai su que ce n’était pas le bon endroit et tout à coup je me suis retrouvée à Avebury - que je n’avais jamais vu. J’ai trouvé les longues avenues entre les piliers principaux comme les rayons d’une roue d’un petit cercle entouré de piliers. Il me semblait que le lieu où nous étions était couvert de branchages. C’était la fin du printemps pour autant que je pouvais en juger par l’herbe et l’atmosphère générale de l’endroit. Le long d’une des avenues est arrivée une procession de prêtres et à l’avant de la procession il y avait une jeune fille couchée sur un brancard. Elle était très belle avec un teint de lait et des joues roses, sa peau était très pâle. De toute évidence elle avait été droguée car elle semblait être paralysée en dessous du cou mais ses yeux, très bleus, étaient encore mobiles. Elle n’était pas attachée puisqu’elle ne pouvait pas bouger – cela avait quelque chose à voir avec le « Sacrifice Volontaire ». La procession est arrivée au centre du cercle et tous les prêtres se sont placés en cercle à l’intérieur des piliers. Le sacrifice a été posé sur l’autel et deux prêtres ont pris leur place, l’un à la tête et l’autre au pied. Celui qui était à la tête avait un visage horrible - carré avec de longues canines et il avait quelque chose qui faisait penser à un grand chat. Il avait une expression presque sadique - une sorte de jubilation bestiale à propos de la jeune fille qui était là, complètement nue. Le prêtre à ses pieds était plus sombre et un peu moins actif, mais il n’en était pourtant pas moins terrible car il dégageait une impression de dissimulation. Ils ont attendu pendant un temps qui semblait extrêmement long que le soleil se lève sur le pilier central et le prêtre qui était du côté de la tête de la sacrifiée a planté la lame du couteau. L’autre avait une coupe pour recueillir le sang qui dégoulinait de la pierre. Puis le soleil est passé par-dessus le pilier et tout fut fini. Ce doit être la première fois que j’ai ressenti un tel malaise et de telles vibrations dans la colonne vertébrale, comme si des rigoles d’eau se déversaient dans ma colonne et hors d’elle : pour moi c’était impersonnel et cela ne me faisait pas vraiment souffrir, mais j’étais très consciente des vibrations objectives tout autour.
CCT
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