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Quelques conseils sur la nature d’un Dieu (à relire)
par Jack W. Parsons version française Tof

 

1. Un dieu est une barrière. Celui qui n’est pas prêt ne peut cette barrière, c'est-à-dire connaitre un dieu ou son temple. Bien sûr, le contact physique et mental est possible - mais le spirituel – l’essentiel doit rester à l’extérieur jusqu’à ce que l’on ait assimilé une partie de la nature du dieu.

2. Un dieu est une passerelle. La conversation avec le Dieu et sa connaissance confèrent l’initiation - permettent de passer au-delà de tous ses opposés. Il est donc un cosmos complet, ou un macrocosme exprimé – en l’homme. Un microcosme est un macrocosme implicite.

3. Un dieu est un univers, c’est-à-dire que le dieu inclut, réconcilie et transcende toutes les classes de sa classe, et tous les opposés à sa classe. Il est donc un cosmos complet, ou le macrocosme exprimé - en l’homme. Un microcosme est un macrocosme implicite.

Il est essentiel de saisir la double nature d’un dieu et sa fonction. Le bien et le mal, un aspect bien et mal définis, car c’est la position du dieu de réconciliateur qui est le plus important. Les dieux terribles – comme Huitzilopochtli, Kali, Baal, Moloch et Jehova sont là pour présenter la diversité - la justesse - de l’apparition du mal, tout comme les dieux doux, bons dépeignent et concilient les autres aspects. Le rapprochement annihile la scission de l’ego schizoïde qui a divisé les aspects de l’image parentale en un cosmos divisé, en guerre et désastreux. Les dieux maléfiques ne demandent pas qu’on fasse couler le sang en sacrifice – c’est là l’erreur macabre de l’âme incomplète. Ils ne demandent que l’on perçoive l’éternité derrière l’apparence même du mal. L’acceptation des valeurs trans-humaines et trans-logiques comme standard d’impureté. Le sacrifice sanglant dans la société est un clivage national de l’ego de scission, mais même Mars lui-même propose toujours l’alternative plaisante d’une union transcendante où le dieu est autre - Mars Venemis, le Dieu des bois.

Lorsque vous rendez visite à un dieu sur son plan approprié (son pays) en astral, vous pourrez peut-être constater que le pays est aussi le dieu. C’est l’expérience de certains rares types de natures mystiques, où en s’aventurant dans un lieu familier on débouche soudainement dans un paysage d’Arcadie, une brève intrusion dans les prairies éternelles sur la montagne dans les domaines plus simples que nous connaissons. Le lieu c’est le Dieu, le Dieu est le lieu, ce qui est vu et celui qui voit ne font qu’un.


 

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Dans la joie nous nous sommes réunis, dans la joie nous nous séparons et dans la joie nous nous retrouverons!